Cette édition s’intéresse au métier de cafeteria dans la ville de Maroua. La cafeteria est un lieu de vente des plats moins chers et simple à réaliser, mais aussi des boissons non alcoolisées. A Maroua, la plupart des cafeterias se trouvent devant des entreprises, des bureaux administratifs, des écoles et des agences de voyage. Quelques tenanciers de cafeterias partagent avec nous leur quotidien.
Cette émission s’intéresse au métier de tailleur d’ongles. Communément appelé Mayankas dans la région de l’Extrême-Nord, le métier de tailleur d’ongles est en majorité pratiqué par les ressortissants des pays étrangers. On les retrouve dans les coins de rues, hôpitaux, devant les lieux de cultes, dans les marchés de la ville de Maroua. Quelques tailleurs d’ongles partagent leur quotidien dans cette émission.
Le métier de vendeur de fruits est en pleine expansion dans la ville de Maroua. Certains vendeurs squattent des coins de rues avec leurs fruits exposés à même le sol sur du sable ou sur des tables. D’autres sont ambulants et à l’aide de brouettes ou de pousse-pousse, ils arpentent les rues de la ville. Mangues, pastèques, bananes, oranges, canne à sucre, avocats… tout est vendable pourvu que ça rapporte.
Cette édition est focalisée sur le métier de peintre, qui consiste à appliquer de la peinture sur les bâtiments, à décorer des objets et à dessiner des tableaux sur les murs. Le peintre en bâtiment assure les finitions pour l’embellissement de l’ouvrage à livrer et peut aussi intervenir dans la rénovation en intérieur comme en extérieur. Vous écouterez quelques peintres que nous avons rencontré et qui partagent avec nous la réalité de leur métier.
Pour cette édition, votre radio de proximité donne la parole aux forgerons dans la ville de Maroua, ces artisans spécialisés dans la fabrication et la commercialisation d’objets ayant essentiellement une valeur esthétique et culturelle à base des métaux. Comme vous l’entendrez, ces forgerons font face à plusieurs difficultés, mais continuent de lutter pour gagner dignement leur pain quotidien.
Il est écrit : « Tu mangeras à la sueur de ton front ». S’il y a une activité à laquelle cette prescription s’applique le mieux, c’est le métier de chargeur de sable. Dans cette émission, nous somme allés à la rencontre de quelques jeunes qui exercent cette activité éprouvante. Ils squattent les mayos (cours d’eau) pour charger du sable dans des tricycles ou des camions à destination des chantiers de construction dans la ville.
Prendre soin des roues de voitures et de motos est une activité qui occupe plusieurs jeunes dans la ville de Maroua. On les retrouve à tout bout de rue de la ville. Ils offrent des services d’entretien, de remplacement, de collage et d’équilibrage des roues. Les jeunes qui s’y lancent se forment généralement dans le tas.
Le transport urbain dans la région de l’Extrême-Nord se fait essentiellement par moto.
L’activité de moto-taximan occupe des milliers de jeunes et moins jeunes, qui en ont fait leur gagne-pain, malgré tous les risques auxquels ils s’exposent au quotidien.
Les fripiers sont des personnes qui vendent des vêtements usagés importés d’Europe, appelés friperie. On les rencontre dans tous les marchés permanents ou occasionnels de la ville. Comment est structurée cette filière et comment résiste-elle aux vêtements neufs low-cost importés du Nigéria et de la Chine ? Quelques fripiers répondent à nos questions dans cette émission.
L’un des avantages de la vulgarisation de l’utilisation des téléphones numériques, c’est la naissance du métier de réparateur de téléphone, qui n’est plus le seul apanage des électroniciens chevronnés. Plusieurs jeunes exercent quotidiennement cette activité qui consiste à redonner une seconde vie aux appareils téléphoniques, tablettes et autres gadgets numériques.
