Les fripiers sont des personnes qui vendent des vêtements usagés importés d’Europe, appelés friperie. On les rencontre dans tous les marchés permanents ou occasionnels de la ville. Comment est structurée cette filière et comment résiste-elle aux vêtements neufs low-cost importés du Nigéria et de la Chine ? Quelques fripiers répondent à nos questions dans cette émission.
L’un des avantages de la vulgarisation de l’utilisation des téléphones numériques, c’est la naissance du métier de réparateur de téléphone, qui n’est plus le seul apanage des électroniciens chevronnés. Plusieurs jeunes exercent quotidiennement cette activité qui consiste à redonner une seconde vie aux appareils téléphoniques, tablettes et autres gadgets numériques.
Les pousseurs sont des personnes qui transportent des biens et marchandises à l’aide de pousse-pousse. A Maroua ce métier est mis à mal avec l’arrivée des engins à 3 roues appelés tricycles. Zoom dans cette émission sur ce métier qui nécessite des efforts surhumains, pour transporter des quantités importantes de marchandises.
Les fabriques de parpaings de la ville de Maroua emploient plusieurs jeunes, qui se tuent à la tâche en longueur de journée pour fabriquer ces parpaings, qui de nos jours sont incontournables pour les travaux de construction moderne. Vous écouterez dans cette émission des fabricants de parpaings qui partagent avec vous les réalités et les difficultés de leur métier.
Elles sont de plus en plus nombreuses ces coiffeuses qui offrent une panoplie de services pour entretenir la beauté capillaire des femmes.
Ce métier devient de plus en plus complexe à cause de nouvelles tendances diffusées sur les réseaux sociaux. Les coiffeuses que vous écouterez, vous livreront tous les secrets de leur métier. Elles vous diront aussi les stratégies qu’elles déploient pour s’adapter et rester compétitives.
Les manœuvres sont un maillon essentiel dans les travaux de construction. Avec ou sans formation, ces manœuvres acquièrent au fil des chantiers, des compétences basiques en maçonnerie, électricité, plomberie… d’autres aussi, bien qu’ayant une formation et une qualification dans un métier du bâtiment, sont obligés faute d’opportunités, de se rabattre vers des tâches de manœuvre dans des chantiers pour pouvoir survivre.
La couture est l’un des plus vieux métiers dans notre région. Avec l’évolution constante de la mode, ce métier est aujourd’hui assez modernisé. On rencontre des couturiers formés dans des instituts de formation et ceux ayant appris le métier dans le tas. Mais comme nous l’entendrons de la bouche des couturiers interviewés, les réalités et les difficultés restent les même pour tous.
Installés pour certains en bordure des mayos et pour d’autres dans les points stratégiques de la ville de Maroua, les laveurs de voiture et de moto sont de plus en plus nombreux. Comment sont-ils organisés ? Réussissent-ils à trouver leur compte et se construire un avenir grâce aux revenus tirés de ce métier ? Ecoutons quelques laveurs qui ont accepté de nous parler de leur métier.
La prolifération des motocycles, premier moyen de transport dans la ville de Maroua et ses environs, a favorisé la naissance de plusieurs petits garages pour motocycles. Les mécaniciens qui s’y trouvent assurent la bonne santé des engins à deux roues et même des tricycles. Comment ont-ils appris ce métier et est ce que celui-ci nourrit son homme ? Vous aurez la réponse en écoutant des mécaniciens qui ont répondu à nos questions.
A Maroua, plusieurs jeunes exercent le métier de blanchisseur. Ils collectent les vêtements chez leurs clients, les lavent dans des cours d’eau ou à l’aide de l’eau de forage. Puis ils les repassent avec des fers à repasser à charbon, avant de les retourner chez leurs clients, contre une rétribution dont le montant varie en fonction du type de vêtement. Nous avons tendu notre micro à quelques jeunes qui vivent de ce métier.
