Comme nous le savons tous, les relations entre belles-mères et belles-filles sont le plus souvent tumultueuses. A la lumière des histoires de quelques jeune femmes, cette émission brise le silence sur les souffrances subtiles mais réelles des brus, dont les belles-mères sont à l’origine.
Cette émission nous propose l’histoire des filles mères qui vivent encore sous le toit et la responsabilité de leurs parents, dans une société où la virginité de la femme avant le mariage a encore une valeur sacrée.
Focus dans cette émission sur l’histoire et le parcours atypique de Marthe WANDOU et Aissa DOUMARA, respectivement récipiendaires du prix Nobel alternatif 2022 et du Prix Simone VEIL 2019 de la république française, grâce au travail abattu dans leurs organisations, pour la promotion des droits humains.
Cette émission donne la parole aux femmes victimes des conflits intercommunautaires dans le département du Logone et Chari et qui ont trouvé refuge dans des camps de déplacés dans le département du Diamaré, après avoir perdu toute une partie de leur vie.
Deux femmes partagent avec vous leur histoire dans cette émission. Fatoumata, mère de 5 enfants et malade chronique, dont le conjoint ne s’occupe pas et à qui il n’adresse plus la moindre parole. Puis Christelle, âgée de 31 ans, mère d’un enfant dont le père a pris la poudre d’escampette.
Deux histoires sont mises en avant dans cette émission. L’histoire d’une femme s’étant séparée de son conjoint à cause des violences conjugales, ce dernier l’ayant par la suite privé de ses enfants. La deuxième histoire est celle de Naomie, une jeune femme enceinte et démunie, abandonnée par l’auteur de sa grossesse.
La religion musulmane est réputée pour son code de conduite rigoureux, qui impose à ses adeptes des comportements responsables. Mais il n’est pas rare de trouver des hommes qui affichent des attitudes irresponsables, comme le fait de découcher. Qu’est ce qui pourrait pousser un homme à découcher ? Quelle doit être l'attitude de son ou ses épouses ? que dit le Coran sur la question ? Décryptage dans cette émission.
À cause de la tradition et parfois de la pauvreté l’éducation de la jeune fille est sacrifiée au profit des garçons. Pour cette raison l’éducation de la jeune fille doit se faire à la maison, principalement par sa mère. Cette éducation est orientée vers la préparation de la jeune fille au mariage, ce qui implique l’inculcation d’un ensemble de codes sociaux pour être une bonne musulmane.
Avoir beaucoup d’enfants est un signe de bénédiction dans la religion musulmane. Mais souvent le corps de la femme est mis à rude épreuve et sa santé prend un coup lorsque les naissances ne sont pas espacées. La décision d’espacer les naissances doit être prise et assumée tant par la femme que par l’homme, ce qui n’est pas toujours le cas. La religion interdit à la femme de se refuser à son mari.
Une femme qui exerce une profession, ça brise certains us et coutumes de la tradition musulmane. Seulement la modernité et la conjoncture socioéconomique conduisent plusieurs hommes à consentir à laisser leur femme travailler. Cela est souvent source de tension et de conflits conjugaux et familiaux. Cette émission s’attarde sur cette épineuse question.
